Après « Dallas » et « Les feux de l’amour »

La Saga Tapis-Adidas 2, l’histoire continue de plus belle

 

 

A croire que les feuilletons classiques ne font plus recette, et que la saga Tapis-Adidas se rapproche plus des émissions de télé-réalité qui ont le vent en poupe.

 

Pour que l’information, auprès des expats de Marrakech, puisse garder ses droits, Marrakechcode vous présente un nouvel épisode « Saga Tapie-Adidas 2 »

A contrario des propos tenues par Bernard Tapie en 2008, déclarant :

« Quand on a la chance d’avoir un trio arbitral composé du Premier Président honoraire de la Cours d’Appel de Versailles, Pierre Estoup, un ex-président du Conseil Constitutionnel, Pierre Mazeaud, et Jean-Denis Bredin, considéré comme une des valeurs morales les plus éminentes de France, on ne peut qu’écarter toute suspicion sur l’honnêteté de la décision »

Le Monde annonce ce matin, que l’Elysée vient de confirmer sa position, en déposant un recours sur la décision prise lors de l’arbitrage statuant sur le conflit opposant Tapie et le Crédit Lyonnais dans le dossier « Adidas », devant la Cours d’Appel de Paris.

 

« Escroquerie en bande organisée », quelques protagonistes de ce dossier brulant, considérés, encore hier, au dessus de tout soupçons, viennent de changer radicalement de statut.

C’est ainsi, que Pierre Estoup, Stéphane Richard et Jean-François Rocchi sont mis en examen, ce qui signifie également, que si l’arbitrage venait à être annulé, Bernard Tapie devrait rembourser à hauteur des sommes perçues.

 

Autant dire, que la chose est impossible, puisqu’il l’a annoncé, il ne lui reste que 100 millions, le pauvre.

Quand la réalité dépasse la fiction

On connaît les talents d’acteur du personnage.

Pourquoi ne pas imaginer un scénario qui se contentera de retracer cette histoire, avec un premier rôle, où Tapie jouera Tapie. J’ai la conviction que le film se placera 1^er au box-office, qu’en pensez-vous ?

Peut-être une idée, qui apportera une solution financière, et qui nous donnera l’occasion d’aller au cinéma.

A bien y réfléchir, on paie, d’accord, mais au moins on a un bon film.