La théorie du genre et l’éducation nationale, ça vous parle !

theorie du genre

La théorie du genre, un grand débat IMPORTANT, non autorisé, fait couler beaucoup d’encre, la mission française intégrant le programme scolaire français, nous avons tenté de comprendre ce qu’était la Théorie du genre, nouvellement en cours d’installation dans nos écoles, mais qu’en pensez-vous ?

 

La théorie du genre, Vincent Peillon s’en défend et explique qu’il s’agit simplement d’introduire à l’école le concept de l’égalité entre l’homme et la femme, via des cours intitulés « ABCD de l’égalité »

Pourtant, à en lire le courrier qu’il adresse le 4 janvier 2014, il VEUT prendre des mesures nouvelles en « s’appuyant sur la jeunesse, pour changer les mentalités, notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles », ne s’agirait il pas de la fameuse théorie du genre ?

De quelle jeunesse parle t’on ?
On parle de maternelle et de primaire

 

Monsieur Vincent Peillon est donc un Ministre de l’Education qui, conformément au rapport de Michel Teychenné, pense qu’il faut informer et débattre autour de la sexualité et de ses orientations, dès le plus jeune âge, afin de prévenir les réactions homophobes rencontrées dans nos écoles.

Pour appuyer, la bonne parole de notre Ministre, une sénatrice PS, Laurence Rossignol, déclarait le 5 avril 2013, sur le plateau de l’émission, Ce soir ou jamais :
« Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’Etat »
Si si, je vous assure, ce n’est pas une blague, c’est tout simplement hallucinant.

 

On peut donc supposer, que les parents de nos chers enfants, se voient contraint d’accepter cette décision ministérielle, sans même pouvoir y réagir, et sans tenir compte de l’éducation que nous avons reçu.
En d’autres termes, on va expliquer à vos enfants, avant même que ne se dessinent ses véritables envies sexuelles, que s’il se sent attiré par des personnes de même sexe, c’est complètement normal et qu’il ne faut pas sans inquiéter.
Si ce message s’adressait à des adultes, la chose ne serait pas gênante, c’est vrai.
Chacun fait ce qu’il veut avec son c..

 

Seulement voilà, sans être un spécialiste du monde des enfants, on peut se poser quelques questions :

Jusqu’à l’âge de 14, 15 ans, généralement, on peut observer que des clans se constituent, les gars avec les gars, et les filles avec les filles, non que cela puisse être interprété comme une discrimination, mais simplement que les jeux auxquelles s’adonnent nos enfants, sont différents selon leur sexe.

Cette différence s’entretient encore aujourd’hui, et ce dès leur naissance, pour la chambre du nouveau né, on pense « rose » pour les filles, et « bleu » pour les garçons, et pour le choix des jouets, on a tendance à aller vers les poupées et le maquillage pour les filles, et vers les voitures et les cow-boys pour les garçons.

Faut-il laisser les enfants se diriger dans les rayons des magasins de jouets afin qu’ils puissent y choisir librement leur cadeau ?

Si vous développer un sujet avant l’heure, que risque t’il de se passer ?

Compte tenu des clans formés naturellement à l’école primaire, le désir de se rapprocher de se que l’on a pas, va s’amenuiser, se contentant de se qui nous entoure, et si la morale vous explique que les relations sexuelles du même sexe sont complètement normal, alors pourquoi ne pas essayer !
Cela ne ressemblerait il pas à de l’incitation ?

 

Nombres d’éducateurs sont d’accord pour dire que l’entrée au collège est un grand changement dans la vie de nos écoliers, en effet, fini le Maître ou la Maitresse et bonjour les profs et les changements de classes.
Au delà de ce changement de repères et de rythmes, il va falloir intégrer un enseignement du nouveau genre, l’éducation sexuelle selon « Azur »
Et si vous allez faire un tour sur ce site d’un nouveau genre, vous conviendrez, que les articles sont des plus étonnant

http://www.ligneazur.org/

Par quelle explication rationnelle va t-on pouvoir expliquer, à nous parents, que dès leur plus jeune âge, nos enfants vont être confrontés au choix de leur orientation sexuel ?

 

A y regarder de plus près, aujourd’hui, il semble évident que les difficultés liées à l’enseignement sont déjà très importante. L’arrivée à la grande école (le collège) n’exclu pas que l’écolier ne sache toujours ni compter, ni lire et encore moins écrire convenablement, n’en déplaise à François Peillon.

Plutôt que de tenter de réparer ce retard, on préfère nous imposer une nouvelle matière, la théorie du genre.
Savoir compter, lire et écrire, personne ne pourra contester ce besoin, pour donner à chacun la possibilité d’acquérir son libre arbitre.
Mais conditionner nos enfants dans la recherche de leur orientation sexuelle, il faut arrêter ce délire

Une maitresse explique, qu’un test a été effectué sur une classe de maternelle (grande section), elle a demandé à ses élèves d’habiller des enfants de petite section, il s’avère que le garçon était habillé d’un jean, et la petite fille d’une jupe, démontrant ainsi qu’il fallait casser ces stéréotypes. Mais où veut on en arriver ?

 

Mieux encore, un professeur de SVT, souligne quelques points de disfonctionnement d’une importance capitale :

Conformément au programme de l’Education Nationale, l’enseignement sur l’égalité devrait être dispensé lors de cours de sociologie, mais c’est aux professeurs de SVT qu’en incombe la charge !
Et oui, quelques schémas montrant l’acte sexuel entre personne de même sexe doivent pouvoir être expliqués

Les intervenants extérieurs du mouvement  LGBT (Lesbienne – Gay – Bi-sexuel – Transexuelle) ont ils une formation pédagogique ?
En effet ces derniers débarquent dans nos écoles, et s’installent dans les classes de nos enfants, leur prodiguant la bonne parole sur le choix de leur orientation sexuelle, sans qu’aucun contrôle ne puisse être mis en place
Il serait temps de reconnaître que ces deux points élémentaires ne sont pas respectés

 

Pour mémoire :
Pudeur : Disposition à éprouver de la gêne devant ce qui peut blesser la décence, devant l’évocation de choses très personnelles et, en particulier, l’évocation de choses sexuelles.

 

Que l’Education nationale commence par éduquer nos enfants en leurs expliquant que le respect d’autrui est une chose primordiale, que l’enseignement des valeurs de la République Française, puissent retrouver un sens.
Vous vous souvenez ! LIBERTÉ – ÉGALITÉ – FRATERNITÉ
Que le fait d’intégrer une école, fait en sorte que des règles existent, et qu’il faut s’y conformer pour le bien de tous
Que les différences ne constituent pas un élément suffisant, à changer ces règles.

Mais de là, à éduquer nos enfants, en leur expliquant de faire abstraction de l’enseignement que leur donne leurs parents, de lutter contre leur réflexes spontanés qui s’apparenteraient à des stéréotypes qu’il faut enrayés et que le fait d’adhérer à l’homosexualité est une chose parfaitement normale, cela s’apparente a un manque de responsabilité qui pourrait conduire la société sur les chemins du « grand n’importe quoi ».

 

Pour que chacun puisse se faire une opinion, je mets en ligne le rapport de Michel Teychenné, qui a conduit Vincent Peillon à prendre des décisions sans donner la possibilité aux parents de donner leur avis.
Prenez le temps de le lire, et soulignez le nombre de disfonctionnements qu’il comporte

 

Face aux divergences exprimés par certains, Monsieur Vincent Peillon nie les faits, allant même jusqu’à voiler une vérité aberrante, face aux instances journalistiques de l’hexagone en affirmant que la théorie du genre n’existe pas.

Seulement, voilà, notre ministre de l’Education nationale ne peut se contenter de nier l’évidence face aux micros et aux cameras de journalistes. Video BFMTV

Dans son livre intitulé « La révolution française n’est pas terminée », Vincent Peillon nous révèle ce que doit être le rôle de l’école dans notre société :

Elle doit avoir un rôle fondamental pour dépouiller l’enfant de toute attache identitaire, l’école doit transformer la nature de l’enfant, l’école est une nouvelle église, qui avec son nouveau clergé, produit une véritable liturgie et de nouvelles tables de la loi.

Ainsi, Vincent Peillon affirme qu’on a fait la révolution politique, mais pas encore la révolution morale et spirituelle, à la recherche d’une religion républicaine qu’on nommerai la Laïcité !

Alors honnêtement, faire en sorte que le ministère de l’Education nationale mette en place un règlement disciplinaire permettant de sanctionner les bases élémentaires du respect d’autrui, cela paraît tout a fait normal (Insultes aux professeurs – Absentéisme répété – Meneur de bandes (la loi du plus fort) – Fumeur de cannabis)
Mais qu’on distingue dans la notion du respect d’autrui les problèmes relatifs à l’homophobie, semble assez peu réaliste

La société banalise l’insulte, au point de diffuser des clips de pseudo rappeurs dont les textes se contentent d’énumérer les interjections courantes de cours d’école (Sale pute – Nique ta mère – Fils de chienne …)
Mais on éduque nos enfants sur des propos visant individuellement les LGBT !

Ce qui soulève une réflexion basique :
On veut éduquer nos enfants, pour ce faire, une des solutions est effectivement de les envoyer à l’école. Seulement voilà, quand le système éducatif envisage une règlementation allant à l’encontre de nos principes fondamentaux, on nous explique qu’aucun choix ne nous est donnés, puisque l’école est obligatoire. Une obligation rappelée par notre Ministre de l’éducation dans son courrier du 29 janvier adressé aux directeurs d’école

Cette nouvelle réglementation répond aux attentes développées dans un rapport établit par Michel Teychenné, qui tend à démontrer, que l’éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles doit s’établir chez nos enfants dès le plus jeune âge.
Impliquant le fait de casser les stéréotypes conduisant les garçons à se vêtir d’un pantalon et les filles d’une jupe.
Ceci permettant ainsi aux enfants de comprendre la théorie du genre, afin d’accepter naturellement les LGBT
Par contre,  les insultes à l’encontre du prof, du père, de la mère ou encore du frère ou de la sœur sont passées dans le système courant, même si celles-ci aboutissent à des rixes.

On doit donc différencier, dans la notion de respect, les atteintes aux LGBT des autres.

Ne sommes nous pas dans un cas de sectarisme profond, qui ressemble étrangement à du racisme primaire.

 

Farida Belghoul lutte contre l’intégration de cette éducation d’un nouveau genre, et nous vous proposons de l’écouter, car son approche ressemble étrangement à du bon sens.

Farida Belghoul sur l’introduction de la… par ERTV